Notre manifeste

Gérer un immeuble, c'est d'abord partir de zéro.

Ce qui convient à un immeuble ne convient pas à l'autre.

Chaque copropriété a sa propre dynamique, et son mode de fonctionnement: c'est un être vivant, à part entière !

Son parcours lui est propre, évolutif, et fonction d'un passé.

Rien n’est figé, contrairement aux apparences !

L'important est qu'un copropriété se cultive, grandit et fait des miracles comme un arbre dont on prend soin. Il suffit pour cela de trouver le bon effet de levier!

On gère tous les signes du zodiaque. De ce fait, impossible de plaire à tout le monde.

La gestion d'une copropriété n'est pas le pays des bisounours.

On doit faire face aux impayés, par exemple. Et si on est "cool", c'est la copropriété qui coule ! ;)

Un syndic est fait pour mettre les pieds dans le plat, et aborder ce qui dérange.

Ce qu'on ne nomme pas, n'existe pas.

Nommer permet de poser le problème, analyser, et comprendre les choses. Cela permet de se mettre en mode exécution, ensuite.

Dans ce métier, on puise dans tout ce qui nous entoure. Et le meilleur moyen pour cela est d'être attentif aux autres, et aux évènements.

La copropriété est un monde complexe, fait de lourdeurs.

Un projet met, parfois, des années avant d'aboutir. Il faut être persévérant, et ne pas se comporter en syndic Kleenex, sur le départ.

Ce n'est pas évident de dégager un consensus. Et la réglementation n'aide pas.

Tout passe par la confiance. Pour l'obtenir, il faut s'engager !

Et, d'abord, s'assurer en amont que ses engagements sont réalisables. Tenir ses promesses, savoir dire non, avoir une parole, raisonner par étapes, s'engager progressivement, ne pas baisser les bras.

Quelque chose, dans ce métier, pousse à une remise en question perpétuelle. Souvent, il faut savoir faire du positif avec du négatif.

Pour cela, il n'y a pas de secrets: il faut aimer le métier.

A défaut, "la mayonnaise ne prend pas".

Bizarrement, cela permet de devenir quelqu’un de meilleur, motivé, et inspirant. C'est cette boucle qui permet d'aller de l'avant, de passer les obstacles et les résistances.

Au contact du résultat final, quand une copropriété est passée de l'autre coté, et que tout est OK : ça véhicule des émotions très profondes, à la fois, très justes, et très équilibrées. C'est une forme de rémunération.

J'ai l'habitude de dire que c'est le métier qui m'a choisi, et non l'inverse. Je l'exerce naturellement, sans efforts.

Je suis un habitué des doubles journées. C'est un métier qui s'exerce tôt le matin jusqu'à tard le soir - car n'importe quel sujet demande du temps, de l'attention, de la disponibilité - sans quoi rien n'abouti. Il y a une forme de sacerdoce, là-dedans.

Ce métier va de paire avec une personnalité, un caractère donné. Il faut être ferme, sans tomber dans l'autoritarisme. Question de dosage !

J’adore régler des problèmes. Je réfléchis non-stop et ça m’amène parfois à créer des connexions un peu magiques !

Ce que je préfère c’est le moment où je me dis « mais oui, c’est ça la solution ! ». C’est le point de contact entre de longues heures de réflexion, et la vision claire de là où il faut aller.

Votre serviteur.

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Notre manifeste

«Penser haut, sentir profond, dire clairement»

«Penser haut, sentir profond, dire clairement»

Ce qui convient à Paul ne convient pas à Jacques !

partir de zéro

Gérer un immeuble, c'est d'abord partir de zéro.

Ce qui convient à un immeuble ne convient pas à l'autre.

Chaque copropriété a sa propre dynamique, et son mode de fonctionnement: c'est un être vivant, à part entière !

Son parcours lui est propre, évolutif, et fonction d'un passé.

Rien n’est figé, contrairement aux apparences !

L'important est qu'un copropriété se cultive, grandit et fait des miracles comme un arbre dont on prend soin. Il suffit pour cela de trouver le bon effet de levier!

Faire avancer les dossiers

se mettre en mode opérationnel et faire avancer les dossiers

On gère tous les signes du zodiaque. De ce fait, impossible de plaire à tout le monde.

La gestion d'une copropriété n'est pas le pays des bisounours.

On doit faire face aux impayés, par exemple. Et si on est "cool", c'est la copropriété qui coule ! ;)

Un syndic est fait pour mettre les pieds dans le plat, et aborder ce qui dérange.

Ce qu'on ne nomme pas, n'existe pas.

Nommer permet de poser le problème, analyser, et comprendre les choses. Cela permet de se mettre en mode exécution, ensuite.

Gagner la confiance

s'engager, savoir dire non, tenir ses engagements

Dans ce métier, on puise dans tout ce qui nous entoure. Et le meilleur moyen pour cela est d'être attentif aux autres, et aux évènements.

La copropriété est un monde complexe, fait de lourdeurs.

Un projet met, parfois, des années avant d'aboutir. Il faut être persévérant, et ne pas se comporter en syndic Kleenex, sur le départ.

Ce n'est pas évident de dégager un consensus. Et la réglementation n'aide pas.

Tout passe par la confiance. Pour l'obtenir, il faut s'engager !

Et, d'abord, s'assurer en amont que ses engagements sont réalisables. Tenir ses promesses, savoir dire non, avoir une parole, raisonner par étapes, s'engager progressivement, ne pas baisser les bras.

Faire du positif avec du négatif

aimer le métier : sans quoi on n'a pas sa place dans la profession

Quelque chose, dans ce métier, pousse à une remise en question perpétuelle. Souvent, il faut savoir faire du positif avec du négatif.

Pour cela, il n'y a pas de secrets: il faut aimer le métier.

A défaut, "la mayonnaise ne prend pas".

Bizarrement, cela permet de devenir quelqu’un de meilleur, motivé, et inspirant. C'est cette boucle qui permet d'aller de l'avant, de passer les obstacles et les résistances.

Au contact du résultat final, quand une copropriété est passée de l'autre coté, et que tout est OK : ça véhicule des émotions très profondes, à la fois, très justes, et très équilibrées. C'est une forme de rémunération.

Obtenir des résultats tangibles

objectifs clairs, et porte de sortie en cas de problème

Un Syndic est mandaté pour valoriser un patrimoine immobilier :

c'est sa mission sacrée!

Pour cela, il doit mettre en place une stratégie efficiente (parvenir à des résultats avec un minimum de dépenses), mettre la copropriété en relation avec les meilleurs professionnels de la place, afin que les actions engagées par la copropriété soient faites avec sérieux.

Faire face à la déferlante

La vie d'une collectivité est faite de hauts et de bas.

Un jour, tout va bien.

Le jour suivant, on navigue en eaux troubles.

La collectivité nécessite un accompagnement efficace permettant de préserver ses intérêts.

Une collectivité se doit d'être capable d'amortir les crises : les prévisibles et les imprévisibles, dans la mesure du possible.

Raison pour laquelle il faut tout anticiper : le meilleur comme le pire, afin de ne pas être pris au dépourvu.

Je suis un habitué des doubles journées. C'est un métier qui s'exerce tôt le matin jusqu'à tard le soir - car n'importe quel sujet demande du temps, de l'attention, de la disponibilité - sans quoi rien n'abouti. Il y a une forme de sacerdoce, là-dedans.

Ce métier va de paire avec une personnalité, un caractère donné. Il faut être ferme, sans tomber dans l'autoritarisme. Question de dosage !

J’adore régler des problèmes. Je réfléchis non-stop et ça m’amène parfois à créer des connexions un peu magiques !

Ce que je préfère c’est le moment où je me dis « mais oui, c’est ça la solution ! ». C’est le point de contact entre de longues heures de réflexion, et la vision claire de là où il faut aller.